L'adaptation des fonctions cardiaques et respiratoires à l'effort

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Question 1

Par rapport à ce qu’il serait dans un organisme au repos, le rythme spontané d’un cœur isolé est :

identique.
supérieur.
inférieur.




Question 2

L'activité naturelle du coeur :

dépend de messages nerveux transmis à partir du bulbe rachidien.
est une activité automatique donc ne dépendant jamais des centres nerveux, même pour accélérer.
existe dès la formation du coeur chez un embryon.
est toujours supérieure à la fréquence cardiaque d'un coeur au repos.



Question 3

L’augmentation du rythme cardiaque lors d’un effort intense :

est indépendante des centres nerveux cardiaques.
s’explique par le relâchement du nerf parasympathique (pneumogastrique) et par le nerf sympathique (cardiaque) qui l’accélère.
s’explique par le relâchement du nerf sympathique (cardiaque) et par le nerf parasympathique (pneumogastrique) qui l’accélère.
dépend de messages nerveux en provenance du bulbe rachidien.



Question 4

Quelle(s) lésion(s) des centres nerveux provoque(nt) l’impossibilité de contrôler le rythme cardiaque ?

une lésion du cortex moteur cérébral.
une lésion du bulbe rachidien.
une lésion du centre inspiratoire.
une section de la moelle épinière en dessous du bulbe rachidien.



Question 5

Une section du nerf parasympathique (pneumogastrique) :

entraîne l’accélération du rythme cardiaque.
entraîne le ralentissement du rythme cardiaque.
n’a aucune conséquence sur le rythme cardiaque au repos.
empêche l’individu de réaliser un effort physique intense.



Question 6

Une section du nerf sympathique (cardiaque) :

entraîne l’accélération du rythme cardiaque.
entraîne le ralentissement du rythme cardiaque.
n’a aucune conséquence sur le rythme cardiaque au repos.
empêche l’individu de réaliser un effort physique intense.



Question 7

Lors d’un cycle respiratoire :

l’inspiration est la phase passive.
l’inspiration est la phase active.
l’air entre passivement dans les poumons, dilatés sous l'effet des mouvements des côtes, pendant l’inspiration.
l’air est expulsé activement des poumons pendant l’expiration.



Question 8

Quand les muscles inspiratoires se contractent :

le volume de la cage thoracique augmente créant une dépression.
le volume de la cage thoracique diminue permettent à l'air de s'échapper passivement.
le diaphragme est contracté ; il se raccourci et remonte dans la cage thoracique.
les poumons suivent passivement les mouvements de la cage thoracique.



Question 9

Le débit respiratoire du repos :

est automatique.
est régulée par l'entrée de l'air dans les poumons.
est modifiable si le message nerveux est plus rapproché (fréquence).
est modifiable si le message nerveux est plus intense (volume).



Question 10

L'inspiration :

est un mécanisme naturel automatique qui ne dépend pas d'un contrôle nerveux.
est déclenchée par un message nerveux provoquant la contraction des muscles respiratoires.
s'arrête lorsque le message nerveux s'arrête.
est sous le contrôle du centre cardiaque situé dans le bulbe rachidien.



Question 11

lors d’un effort physique, les débits ventilatoire et cardiaque augmentent car :

le cortex cérébral moteur (cerveau) permet de synchroniser le cœur et les poumons.
le muscle envoit un message directement au coeur et aux poumons.
le poumon suit toujours l'activité cardiaque, qui elle est autonome.
les nerfs cardiaques et respiratoires transmettent un message proportionnel à l'effort à fournir.




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